Les créations singulières disponibles actuellement : Les Sens d’Une amour

Les Sens d’Une amour, lectures théatralisées et mises en ondes de Sandrine Velasco -durée 50 minutes, public majeur et consentant- (Mais il existe une version pour les enfants ! Pour parler du corps, de l’intime et d’identité).
«Un tour de lecture où Velasca vous entraîne, dans l’univers sensuel et politique des auteurices contemporain.e.s qui parlent d’amour, de sexualité, d’identité. Pour parler du rapport à toi, du rapport à l’autre. Un instant pour te faire caresser les OrEILles…» -Théâtre du Fil à Plomb – janvier 2023.
Les Histoires glissées à l’oreille

Se poser, un plaid sur ton fauteuil préféré, dans ton bain, sur le toît ou dans ton jardin et te laisser porter… J’ai choisi le téléphone pour ce singulier moment (du confinement), parce que comme ça, il n’y a que ma voix et toi et ton imagination. Et moi, susciter ton imagination et bouleversifier ton regard et tes émotions, ben j’adore ça.
Velasca te chuchotte au creux de tes trompes d’eustache un conte, une histoire féministe, éroticopoélitique*… Il y a d’abord un rendez-vous à prendre pour apprendre à prendre le temps de s’écouter. *(joli mot emprunté au merveilleux Benoît Hau)
Tout commence par un texto, au 07 83 54 03 57…
MUTATION 2.0




Ce travail est une invitation à la rencontre et la découverte de l’intime, du corps féminin et plus précisément d’une peau qui est en constante évolution.
Vivre un moment de partage et de confiance avec des modèles dans leur salle de bain respective, couverte de marc de café, et découvrir des identités.
Des instants de découverte de soi et de l’autre, de complicité, de jeu, de rire, en noir et blanc, une carte postale de l’intime, c’est ce que nous présente Morgo Lum.
Origine :
La photographie m’a toujours attiré, elle renvoie au souvenir, la mémoire et l’intimité d’un fragment passé qu’il soit doux ou douloureux.
Pour ma part, une photographie n’est pas juste un instant immortalisée sur un bout de papier mais de tout ce qu’il y a autour. Imprimer un souvenir de l’avant, du pendant et de l’après.
J’ai commencé cette quête sur la recherche de la peau, de l’intime, et du corps, à ma troisième année de licence d’art plastique. Une première exploration du corps fût sur moi-même, un travail d’appropriation à travers une installation organique nommée RENAISSANCE. Une chrysalide qui se métamorphose ou bien la représentation d’une mue de serpent.
Dans cette idée de la peau, une “peau habit”, une peau “costume” qui est une seconde peau, une peau qui mue à chaque instant. Je ne voulais pas partir sur l’objet souvenir mais revenir sur soi, sur l’être.
La photographie que je choisis, c’est celle qui souligne l’imperfection. Je cherche à montrer le beau dans ce qui serait montré comme laid. Rendre beau quelque chose qui nous semble imparfait.
La rencontre avec les autres n’est pas chose évidente. Allez chercher la rencontre avec le corps, c’est aussi chercher à ce rencontrer, à rencontrer ce corps que j’habite. L’appareil photo me sert de miroir entre le regard sur soi et le regard sur l’autre.




Ce projet s’entremêle avec le travail de Maëlle Mays pour fabriquer une carte de l’intime et des corps. L’exposition est affiché lors de représentation de la Leçon Impertinentes #4 “Mangez ceci est mon corps” ou les intégrales. Toutes ces cartes postales résonnent avec les définitions personnelles suscitées par Zou à travers ses représentations. Ainsi publics et modèles fabriquent ici un nouveau corps.
Les participantes à ce projet :
AMELIA 2.0 (Septembre 2017)
GIULIA 2.0 (Décembre 2017)
CECILE 2.0 (Avril 2018)
NAEMA 2.0 (Mai 2018)
MAËLLE 2.0 (7 Janvier 2020)
SANDRINE 2.0 (13 Janvier 2020)
JUSTINE 2.0 (17 Janvier 2020)
ANANDA 2.0 (19 Février 2020)


Exposition au Théâtre du Grand Rond, Septembre 2019
Merci pour leur accueil et de m’avoir fait confiance à deux reprises